Turbo jaune

En Janvier 1972, pour concurencer l'Austin Mini, Renault commercialise sa Renault 5.
Peu chère, pratique, robuste et inovente au niveau du design, cette voiture sérvira de base à de véritables bolides de course.

Née sous le nom de code 822 en 1977, la Renault 5 Turbo, présentée au Salon de Paris en octobre 1978, est commercialisée en juin 1980.
Extérieurement, elle se distingue de la Renault 5 basique par ses ailes arrières larges et la prise d'air sur le capot.
Sous les spoilers, l'évolution est plus importante, l'auto n'ayant plus aucun rapports avec la voiture dont elle est issue. Elle passe de traction, moteur à l'avant à propulsion à moteur central arrière. De plus, un turbo T3 Garrett vient suralimenter le petit 1 400 cm3 pour développer une puissance de 162 ch. Cette voiture se forgera un redoutable palmarès en rallye

Belle anglaise

En allant cet été au circuit Actua de Lyon, j'ai pu voir évoluer une Aston Martin en piste... Tout ce que je peux en dire, c'est que le ramage se rapporte au plumage pour cette belle anglaise.

Usine à gazs

Le moteur Renault RS5 (ici exposé à Magny cours en 1995) était un V10 de 3,493L de cylindrée. Donné pour plus de 780 cheveaux à 13800tr/minutes, il permit à Alain Prost et sa Williams de devenir champion du monde en 1993.

Rubens Barrichello

En 1995, Rubens Barrichello pilotait une Jordan Peugeot, ici sur le Grands prix de France. Cette année là, le titre se jouait entre Damon Hill (sur Williams) et Michael Shummacher.Si à ce moment là, il ne fait aucun doute que Rubens aurait troqué sa Jordan contre une Williams, est il aussi ravi aujourd'hui d'échanger sa Brawn contre une voiture qui n'est que l'ombre de ce qu'elle était alors?