Ancienne, mais pas une ride...

Les alpines A110 ont beau dater d'une autre époque (conception dans les années 50, et dérivée en partie des renault 4), leur ésthétique n'à toutefois pas pris une ride...

Vendredi après midi...

Il y à encore quelques années, à Monaco, le paddock était le long des quais Antoine 1er (et dans le parcking situé en haut de l'avenue de la quarantaine pour les équipes plus modestes)...

Et donc, le Vendredi après midi, quand les équipes venaient vérifier leurs voitures sur le marbre de la FIA à l'entrée des stands, c'était toujours un moment de fête, de proximité entre le public, les équipes, et les voitures... Unique au monde, il est dommage que ce dernier instant de convivialité ait irrémédiablement disparu désormais...

Eddie Irvine

Pendant les essais en 1997, Eddie Irvine se prépare dans sa voiture...

A l'attaque du chrono!

En 1996, le tandem Alesi Berger heritait d'une Benetton qui n'était plus que l'ombre d'elle même.
En 1997, c'était à peine mieux.

N°2

En 1897, lorsque que Marius Berliet fabrique sa deuxième voiturette, il la batise froidement N°2.

Equipée d'un moteur bi-cylindre à plat refroidis par air de 1,9l de cylindrée, elle était tout à fait représentative de l'école de l'automobile Lyonnaise, sa cylindrée jugée importante à l'époque étant justifiée par le relief accidenté de la région. Construite pendant deux ans à 11 éxemplaire, elle était équipée de pneus Michelin et d'une boîte de vitesse à deux rapports.

Cette reconstitution est exposé dans le hall du musée Berliet situé dans l'usine Renault Trucks de Vénissieux.